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Duc partit pour une terre qu’il avoit en Languedoc, décidé à y rester trois ou quatre mois.

Ce départ causa autant de chagrin que d’étonnement à mademoiselle de Clermont ; et lorsqu’au bout de deux mois, elle vit que monsieur de Melun ne revenoit pas, elle tomba dans une mélancolie dont rien ne put la distraire. Tout le monde attribua sa tristesse au mariage brillant dont il étoit question pour elle, et qui devoit l’éloigner à jamais de la France. Monsieur le Duc, en effet, lui en avoit parlé ; mais