Page:Genlis - Les souvenirs de Felicie L.djvu/11

Cette page n’a pas encore été corrigée

A M. DUCREST.


Mon cher frère,

C’est à vous que j’offre mes Souvenirs ; vous ; mon premier ami, vous à qui j’en dois de si doux ! Fous ne trouverez point ceux-là dans ce recueil, ils ne pouvoient intéresser que nous, et je n’avais pas besoin de les écrire pour les conserver. Que cet ouvrage, que je vous consacre, soit un monument de cette inaltérable amitié qui nous unit dès l’enfance y et qui, dans nos fortunes diverses, fit toujours le charme ou la consolation de notre vie.

D. GENLIS.