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l’abandon, le désert, la perte et la fin de tout. Au-dessus, un ciel magnifique, un des plus beaux ciels de la peinture, un ciel encore mouillé, parsemé de nuages, un ciel de déluge où l’on attend de voir passer la colombe, un rameau vert au bec, volant vers l’arche où l’attend la fortune des humains. Gloire au peintre de cette page immortelle !



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