Page:Geffroy – Hermine Gilquin, 1907.djvu/77

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


XV


L’hiver venu, Hermine connaît les jours sans lumière et sans chaleur, la vie restreinte, le silence de la neige, l’hostilité de l’espace. Tout de même, en décrivant la triste saison, elle ne peut s’empêcher de songer aux printemps qui viendront encore :

L’Hiver

« L’Hiver, c’est le grand cimetière des résurrections futures.