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débarrassés de ce terrible maître. Le moment vint plus vite qu’on ne l’espérait. François Jarry, ivre, vociférant, entra un soir dans les étables, frappa de son bâton ces animaux qui ne lui appartenaient déjà plus. Tous s’agitèrent, beuglèrent, hennirent. Un taureau, mal attaché peut-être, rompit son licol, se retourna sur l’homme, le cloua d’un coup de cornes contre la porte, s’acharna, fit de son corps une bouillie sanglante.