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pliait, pour hâter le retour au bercail de la brebis perdue. L’innocente bête ne se doutait pas qu’elle ramenait cette brebis vers un maître aussi dur et inexorable qu’un boucher. Mais il en est toujours ainsi du chien et de la brebis, en marche vers l’abattoir, l’un qui encourage, l’autre qui accepte, tous deux ignorants du destin.