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ni l’autre. Si je m’étais adressée à vous, j’aurais peut-être intéressé votre générosité, et la violence qu’on me fait eût cessé plutôt ; mais je ne l’ai pas osé. La sévérité de mon oncle rendait ce moyen impraticable.
Adieu, Adrien, adieu ! qu’une autre plus digne de vous apprécier soit heureuse à ma place ! Je vous rends votre parole, et je ne garde de vous que le souvenir d’une affection qui m’honorait et à laquelle je n’ai pu répondre.
J’embrasse mon amie, madame Duperay ; je ne l’oublierai jamais.
Albertine.