obliger à des voyages ; et je me charge de vous placer. Envoyez-moi madame Duclos, je veux qu’elle vous présente à une dame dont la terre est dans le voisinage ; elle sera charmée de vous connaître, et vous la trouverez bien aimable. Elle doit partir pour Paris ; si vous lui convenez, elle vous emmènera avec elle. » C’était là tout ce que je désirais. J’avertis madame Duclos, qui s’empressa de venir parler à ma nouvelle protectrice.
Je l’attendis dans ma chambre ; elle s’y rendit aussitôt après sa conférence, et me félicita sur l’heureux hasard qui allait me placer peut-être auprès de la femme la plus respectable du monde. « Que nous serons heureuses si vous lui convenez ! je connais la maison, on m’y traite assez bien, et j’ai tout lieu de croire que