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CHAPITRE VII.


Le lendemain, madame de Genissieux arriva tout en larmes m’annoncer que son neveu était au moment de partir, et qu’il allait venir prendre congé de nous. Quoique extrêmement agitée de ce qui s’était passé la veille, je pris, dès l’instant, la résolution courageuse de ne point me trahir, et de n’exprimer que ce qu’exigerait la plus stricte politesse.

Mon oncle entra et consola madame de Genissieux du départ de M. d’Ablancourt, en l’assurant que c’était à son avis l’homme le plus