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qu’au-dessous des genoux ; sur la tête j’avais une calotte de métal et ma face était protégée par une visière de fer avec des trous pour les yeux et
— ramène-le moi vivant, car s’il ne revient pas, je mourrai.
une pointe au milieu du front ; ma trompe et ma croupe furent revêtues d’une demi-cuirasse articulée, ayant au milieu une arête saillante, armée de dents, et l’on mit à mes défenses des fourreaux d’acier aigus et tranchants qui les allongeaient et en faisaient des armes terribles.