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AVIS AU LECTEUR.


Émile Bergerat, gendre de Théophile Gautier, dans son curieux livre si documenté : « Théophile Gautier, Entretiens, Souvenirs et Correspondance — 1879, Charpentier » s’exprime en ces termes, dans une note à la suite de la lettre I, à Eugène, de Nully, 1835 : « Quant au ton qui règne dans cette lettre et que j’ai été contraint d’adoucir, je l’avoue, il ne faut pas oublier que le Maître avait 24 ans quand il l’écrivit, qu’il l’adressait à un ami intime, comme lui, romantique à tous crins, et habitué au parler salé des ateliers de l’époque. Du reste, elle n’était pas destinée à la publicité ; il est inutile de le faire remarquer. Théophile Gautier a écrit deux ou trois lettres libres dans sa vie, (une