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LES PRINCESSES D’AMOUR
trop calme. Les passagers, avec joie, l’abandonnèrent à sa somnolence.
En franchissant le pont-levis, pour s’engager sous le portail du château, Oï-Kantaro ne put retenir l’expression de son enthousiasme. Il faisait sonner le bois sous ses pas, les bras levés au ciel, le visage illuminé.
— Je vous contemple, enfin, murailles fameuses ! Je foule le plancher sacré, que firent retentir les pas nerveux des fidèles vengeurs !…
— Allons ! qu’est-ce qui lui prend encore ? gémit tout bas Yamato ; il va nous rendre ridicules !
Le brave, coula vers lui, de haut, un regard protecteur.
— Vous ne semblez pas vous souvenir, dit-il, que les fidèles vassaux, sont