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LES PRINCESSES D’AMOUR

l’armée, fuyant, poursuivie, qui rentre, en désordre, dans le château.

« Je vois de ma fenêtre, les soldats se répandre dans les jardins, traînant des morts, des blessés, qu’ils couchent sur les gazons…

Et Lui ! Lui !… Oh ! oh !…

. . . . . . . . . . . . . .



Pavillon des Perles Rouges.
Au Yosi-Wara !

. . . . . . . . . . . . . .

« C’est une morte, qui reprend le pinceau, après tant de jours, tombés sur elle, comme des coups de poignard dans une chair inerte.

« Je lui dois, à Lui, d’écrire encore