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I

LE DAÏMIO DE KAMA-KOURA


— Si mes amis de Tokio, me voyaient ainsi, le nez vers la terre, accroupi très humblement devant le daïmio et sa noble épouse, ils me trouveraient bien peu moderne, pas du tout « dans le train », comme l’on dit à Paris, à ce qu’il paraît, et ils se moqueraient de moi. J’ai