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vanta les lions, jetez ce misérable hors du château ; et elle, emmenez-la, qu’elle meure !
Dabboûs, le visage inondé de larmes, s’approcha de Raschid.
— Raschid ed-Din, dit-il, tu as tué le Dieu que tu étais ; tu es aujourd’hui moins qu’un homme !
— Assez !… quand l’éclair a lui, qui donc veut arrêter la foudre ?
Pendant qu’on l’emportait, Gazileh jeta du bout des doigts un dernier adieu au chevalier qu’on entraînait, tandis que les lions, tirant sur leurs chaînes, poussaient des rugissements terribles.