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Dans son pavillon de porcelaine, comme une fleur éclatante entourée de feuillage, l’Impératrice est assise au milieu de ses femmes.

Elle songe que son bien-aimé demeure trop longtemps au conseil, et, avec ennui, elle agite son éventail.

Une bouffée de parfums caresse le visage de l’Empereur.

« Ma bien-aimée d’un coup de son éventail m’envoie le parfum de sa bouche ; » et l’Empereur, tout rayonnant de pierreries, marche vers le pavillon de porcelaine, laissant se regarder, en silence, les Mandarins étonnés.