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C’est le moment de laisser tomber sur le papier la poésie amassée pendant l’été ; ainsi, des arbres, les fleurs mûres tombent.
Allons, je tremperai mes lèvres dans ma tasse chaque fois que j’imbiberai mon pinceau,
Et je ne laisserai pas ma rêverie s’en aller, semblable à un filet de fumée, car le temps s’envole plus vite que l’hirondelle.