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LA FLÛTE D’AUTOMNE
Selon Thou-Fou.
auvre voyageur, loin de la patrie, sans
argent et sans amis, tu n’entends plus la
douce musique de la langue maternelle.
Cependant l’été est si brillant, la nature étale tant de richesse, que tu n’es pas pauvre ; et le chant des oiseaux n’est pas pour toi une langue étrangère.