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La Kisaki, émue, détourna la tête et piqua son cheval,

On rentra au Daïri.

Lorsque le mikado apprit la nouvelle de la guerre probable, il parut affligé, mais il se réjouit à part lui : il n’aimait pas le régent, il n’aimait pas davantage le siogoun ; bien qu’il fût leur souverain seigneur, il sentait confusément qu’ils le dominaient, il se savait surveillé par l’un et par l’autre, il les craignait. Il fut donc heureux de songer qu’ils allaient se faire mutuellement le mal qu’il leur souhaitait à tous deux.

Le même jour les envoyés de Fidé-Yori quittèrent Kioto et retournèrent à Osaka.