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— C’est le grand-père de ma femme, murmura le siogoun.

— Tu répudieras ta femme, dit Nagato. Hiéyas vivant, il n’y a pas de tranquillité pour toi, pas de sécurité pour le pays.

Fidé-Yori prit soudain le pinceau, écrivit la sentence et signa.

Nagato remit L’ordre au général Sanada-Sayemon-Yoké-Moura, qui sortit aussitôt.

Il revint bientôt, le visage bouleversé par la colère.

— Trop tard ! s’écria-t-il, le prince de Nagato n’avait que trop raison : Hiéyas est en fuite.