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L’auteur ne sourcille pas, n’entend rien ; son lourd regard pèse toujours sur Ominah, qui se tient debout au fond de la tente, les yeux baissés, divinement beau, et pâle comme l’albâtre.
L’auteur ne sourcille pas, n’entend rien ; son lourd regard pèse toujours sur Ominah, qui se tient debout au fond de la tente, les yeux baissés, divinement beau, et pâle comme l’albâtre.