mot. Sonnez Fanchonnette, qu’elle vienne me lever et m’habiller.
Je vous obéis, madame. Ma foi ! le sort en est jeté, je me fais voleur de chien.
Ô mes aïeux, pardonnez-moi ! Jupiter s’est bien changé en oie et en taureau ; c’était déroger encore plus. L’amour se plaît à réduire les plus hauts courages à ces dures extrémités. Adieu, madame, au revoir, je vais à la conquête de la toison d’or.
Adieu. Cupidon et Mercure vous soient en aide ! Ayez bien soin de ne revenir qu’avec Fanfreluche, ou je vous annonce que je vous recevrai en tigresse d’Hyrcanie, à belles dents et à belles griffes. Voilà Fanchonnette ; bonsoir, duc.
CHAPITRE VII
Alcindor, rentré chez lui, se jeta sur une chaise longue et poussa un soupir modulé et flûté qui se pouvait traduire ainsi « Que le diable emporte