32
C.-F. GAUSS
sentations 4 et 5, nous pouvons nous en tenir à l’analyse de
l’Article V, qui montre bien clairement qu’elles ont dans les
parties infiniment petites une disposition semblable ou inverse,
selon que l’on choisit la première ou la seconde solution, c’est
à dire selon que l’on a posé
ou
De tout cela nous concluons maintenant que lorsque la représentation
sur la surface dont l’équation est doit être
non seulement semblable en les parties infiniment petites à
l’original dont l’équation est mais encore semblablement
disposée, l’on doit avoir égard au nombre des quantités
négatives qui se présentent parmi les quatre suivantes
Si ce dernier nombre est nul ou pair, on devra choisir la
première solution ; si parmi ces quantités une ou trois sont négatives
on devra choisir la seconde solution. Pour un choix
opposé l’on trouvera toujours la similitude inverse.
D’ailleurs on peut encore démontrer, si l’on désigne respectivement
les quatre quantités précédentes par
que l’on a toujours