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C.-F. GAUSS


ral est très avantageuse pour la représentation d’une partie de la surface de la terre au cas où on veut tenir compte de l’aplatissement.

Pour ce qu’il reste à dire de l’autre cas où il serait facile, il est vrai, de le déduire de ce qui précède où, en conservant les mêmes notations, epsilon est imaginaire, mais où sera encore réel.

Mais, pour être complet, indiquons encore en particulier les formules relatives à ce cas, et posons tout d’abord

On doit alors déterminer à l’aide de l’équation


et l’équation différentielle


donnera l’intégrale


en sorte que l’on devra prendre pour la partie réelle et pour la partie imaginaire de

On en déduit immédiatement les analogues des deux applications particulières considérées plus haut. Pour la première on devra poser ici