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ARITHMÉTIQUES.
de diviseurs ou de non-diviseurs de et dans le premier
cas, l’expression n’aura que deux valeurs qui
seront opposées.
II. Mais quand est composé et etc., etc.
désignant des nombres premiers impairs et non-diviseurs de
ou des puissances de tels nombres, ne sera résidu de que
quand il le sera des nombres etc., c’est-à-dire, quand
tous ces nombres seront contenus dans des formes de diviseurs
de Or en désignant toutes les valeurs de l’expression
suivant les modules etc., par etc.
respectivement, on trouvera toutes les valeurs de la même expression, suivant le module en déterminant des nombres qui
soient etc. ; ainsi le nombre
de ces valeurs sera si l’on exprime par le nombre des facteurs etc. Si donc ces valeurs sont
etc., la congruence a évidemment lieu par elle-même,
suivant tous les modules de etc., et la congruence
n’a lieu suivant aucun de ces nombres ; donc le plus grand commun diviseur de et de est et celui de et
de est mais deux valeurs telles que et qui ne sont
ni identiques, ni opposées, seront nécessairement congrues, suivant un ou plusieurs des nombres etc. mais ne le seront pas
suivant tous, et l’on aura, suivant les autres, donc
le produit des premiers est le plus grand commun diviseur des
nombres et tandis que le produit des derniers est le
plus grand commun diviseur des nombres et Il est
facile de conclure de là que si l’on cherche les plus grands communs diviseurs entre et les différences d’une valeur donnée de
l’expression à toutes les autres, l’ensemble de
ces communs diviseurs contiendra les nombres etc.
et les produits de ces nombres pris deux à deux, trois à trois, etc.
On parviendra donc de cette manière à déterminer les nombres , etc., à l’aide des valeurs de cette expression.
Au reste, comme la méthode du no 327 réduit la recherche
des valeurs de l’expression à celle des valeurs
qui sont de la forme dans lesquelles le dénomi-
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