formes réduites soient épuisées. Ainsi, par exemple, les formes réduites dont le déterminant est se distribuent en six périodes,
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6o. Nous nommerons formes associées, celles qui sont composées des mêmes termes, mais placés dans un ordre inverse, comme , . On voit alors facilement (no 184, 7o.) que si la période de la forme réduite est , , etc., que soit associée à , à , à etc. à , à , la période de sera , , , …, et contiendra, partant, le même nombre de formes que la période de . Nous nommerons périodes associées celles qui sont ainsi composées de formes associées. Les périodes 3 et 6, 4 et 5 de l’exemple précédent sont dans ce cas-là.
7o. Mais il peut arriver aussi que la forme se trouve elle-même dans la période de son associée, comme aux périodes 1 et 2 de notre exemple, et que parconséquent la période de la forme coïncide avec celle de la forme , c’est-à-dire que la période de la forme soit elle-même son associée. Toutes les fois que cette circonstance a lieu, la période renferme deux formes ambiguës. Supposons en effet que la période de la forme contienne formes, ou que . Soit l’indice de la forme dans la période de (car et ont leurs premiers termes de signe contraire, (2o.), c’est-à-dire que et soient associées ; il est évident qu’alors et seront aussi associées, de même et etc., et partant et . Soit , ; on aura ; mais par la définition des formes associées . donc c’est-à-dire que la forme est ambiguë. De même, les formes et sont associées, donc aussi et , et , etc. et enfin et dont la dernière sera ambiguë, comme on le prouvera par un raisonnement semblable. Mais comme