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mémoire de ce Prince, il ne nous déplait point de penser que nous payons peut-être au bienfaiteur un tribut personnel de reconnaissance, au nom des générations qui se sont succédé à Morlàas ; de celles, moins éloignées, qui dorment là-bas, sur le plateau du village natal, en face de la belle chaine des Pyrénées, à l’ombre du grand châtaignier.


Paris, le 16 juillet 1892.


M. M.
 
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