Page:Garnier - Six semaines dans un phare, 1862.djvu/394

Cette page a été validée par deux contributeurs.
384
six semaines dans un phare.

— Il n’y avait qu’un second maître, il se nommait d’un nom anglais.

— Vous y étiez donc, dit le Breton en souriant.

— Oui, et je te reconnais à présent…

— Il y a longtemps que je vous avais reconnu, moi.

Je le ramenai à moi presque évanoui.

— Et tu ne le disais pas ? Et tu te laissais agoniser de sottises ?

En même temps qu’il disait ces paroles, Clinfoc sautait au cou du Breton qui lui rendait son accolade sans rancune pour les mauvais traitements passés.

— Qu’est-ce que cela veut dire ? demanda Paul, à son oncle.

— Le récit d’Yvonnec et celui que voulait faire Clinfoc n’en