agitation de l’instinct génital, s’il a l’esprit en éveil sur ces maladies morales de la jeunesse confiée à ses soins, il ne se bornera pas à déclarer vicieux, sans plus d’examen, ceux que guettent, en vertu de la prédisposition héréditaire psycho-névropatique, les sollicitations anormales de cet instinct.
Si, plus tard, toute intervention est le plus souvent stérile, à cette date de la vie une main opportunément tendue peut empêcher l’enfant ou l’adolescent de sombrer à jamais.
Contre la déséquilibration mentale, contre l’affectivité morbide, on dirigera les agents thérapeutiques dont l’utilité est le mieux reconnue en pareil cas, c’est-à-dire que la médication devra être essentiellement tonique et reconstituante. Les préparations ferrugineuses,