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Dâïra-i ’ulûm-i tab’yât « Cours (cercle) des sciences naturelles », par le bahu Lakschmi Schankar, professeur au collège de Bénarès. C’est la reproduction des conférences de l’auteur que le maulawi Saïyid Ahmad Khan avait inaugurées et qui ont été taites d’après les ouvrages anglais les plus estimés[1].

Faïz-i Nischân « l’Abondance du sentiment », titre du « Diwan » ou recueil des gazals, de Mirza Wala-jah Aschic ; Lakhnau, 288 p.

Bahr-i asrâr-i haquîcat « l’Océan des secrets de la vérité », traité mystique, par Sall-i Allah ; Lakhnau, 120 p.

Gulschan-i faïz « le Jardin de l’abondance », poëme de 96 pages, par Gulam Muhammad Khan[2].

Ganj-i tawârîkh « le Trésor des chronogrammes », en urdu et en persan, par Abd ulgafur Khan ; in-8o de 88 pages.

Strî-darpan « Le Miroir des femmes », rhétorique hindie pour les dames, par le pandit Madhava-praçad, 150 p. in-8o.

Kâvikulakahpatrâ « Traité de rhétorique », par Chinta Manu, 216 p. in-8o.

Schams-i faïz « le Soleil de l’abondance », poëme sur les amours du prince Schah Rukh et de la princesse Mahrukh, par Gulam Muhammad Khan ; in-8o de 236 pages.

Sangraha Siromani, grand traité d’astrologie de 536 pages, par le pandit Saraya-praçad ; Lakhnau, 1875.

Indarjâl « Magie céleste », talismans, amulettes, etc., par Mir Haçan, volume de 304 pages, imprime à Dehli, comme aussi les deux suivants.

Samudrik rekhâ « le Destin sur la main », ouvrage hindi, sur la chiromancie, de 40 pages in-8o.

  1. Panjâbi du 22 avril 1876.
  2. Il ne faut pas confondre ce poëme avec un ouvrage du même titre, mentionné dans ma « Revue » de 1874, p. 45.