quand j’étais chez mon père
Il y a tout lieu de croire que ces couplets sont fort anciens, si, comme je le pense, le mot « baron » y est employé pour exprimer, au générique, un grand seigneur :
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« Chaque fois, dit M. Arbaud, que nos chants parlent d’un homme noble, puissant, ils l’appellent un baron, c’est-à-dire, un homme par excellence, comme le bar germanique dont il dérive. Et ne croyez pas qu’ils prennent ce mot dans son acception féodale ; non, car ils le donnent aux saints :
ils le donnent aux plus hauts personnages :
Mais quand la hiérarchie féodale constituée eut rejeté presque au dernier rang ce titre de baron, il perdit naturellement sa valeur superlative… » (Chants populaires de la Provence, page XVI de la préface.)