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AVANT-PROPOS


C’est sur les instances de mon ami, M. René Durand, alors mon collègue à la Sorbonne, que j’ai accepté en 1923 d’entreprendre ce gros travail.

Des amis et d’anciens élèves se sont aimablement offerts pour me seconder dans ma tâche : MM. Humbert, actuellement professeur à la Faculté des Lettres de Poitiers, Guyot, professeur en retraite du collège d’Arbois, Mlles Suzanne Humery, Clotilde Léger, M. Marcel Blanc, professeur au lycée Regnault à Tanger, et surtout M. Cordier, proviseur du même lycée, et Mme Philippot, professeur au lycée de Nantes. Je leur exprime à tous ici mes bien cordiaux remerciements.

Mon collègue, M. Van Daële, de la Faculté des Lettres de Besançon, a bien voulu lire une grande partie des secondes épreuves, tâche ingrate devant laquelle sa bonne amitié n’a pas reculé.

Mais je dois une reconnaissance particulière à M. René Durand, qui n a pas craint de revoir entièrement les premières épreuves. Avec son savoir et son expérience, avec cet esprit critique que ses anciens élèves connaissent bien, avec le recul qui manque à l’auteur toujours trop près de son œuvre, M. Durand a trouvé, chemin faisant, l’occasion de consigner sur les placards une foule de remarques dont j’ai retiré le plus grand profit.

F. G.