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Eh bien ! je l’ai vu faire à une femme qui sait lire, et quelquefois écrire.
« Considérant que presque toujours quand les femmes tiennent la plume, c’est un homme qui la taille ****[1] ».
Oui, quand elles veulent allumer les torches du fanatisme et prendre le bonnet de docteur, politiquer et discuter la Théologie, censurer les philosophes et encenser leurs détracteurs ; mais une femme sensible n’a besoin que de consulter son cœur quand elle voudra peindre le sentiment.
- ↑ Pas toujours. Ségrais voulut en vain s’approprier le joli roman de Zaïde (de madame de Lafayette).