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A. — Point d’où la ronde commandée par l’inspecteur du service de la sûreté, Gévrol, entendit les cris des victimes.
xx(La distance de ce point au cabaret dit la Poivrière n’est que de 123 mètres, ce qui donne à supposer que ces cris étaient les premiers, que, par conséquent, le combat commençait seulement.)
B. — Fenêtre fermée par des volets pleins, dont les ouvertures permirent à l’un des agents d’apercevoir la scène de l’intérieur.
C. — Porte enfoncée par l’inspecteur de la sûreté, Gévrol.
D. — Escalier sur lequel était assise, pleurant, la veuve Chupin, arrêtée provisoirement.
xx(C’est sur la troisième marche de cet escalier, que le tablier de la veuve Chupin fut plus tard retrouvé, les poches retournées.)
F. — Cheminée.
H. H. H. — Tables.
xx(Les empreintes d’un saladier et de cinq verres ont été constatées sur celle qui se trouve entre les points F. et B.)
T. — Porte communiquant avec l’arrière-salle du cabaret, devant laquelle le meurtrier armé se tenait debout.
K. — Seconde porte du cabaret, ouvrant sur le jardin, et par où pénétra celui des agents qui eut l’idée de couper la retraite du meurtrier.
L. — Portillon du jardinet, donnant sur les terrains vagues.
M. M. M. — Empreintes de pas sur la neige, relevées par les agents restés à la Poivrière, après le départ de l’inspecteur Gévrol.