Page:Gaboriau - Monsieur Lecoq, Dentu, 1869, tome 1.djvu/240

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Lecoq eut un si terrible geste que le vieux recula épouvanté.

— Malheureux !… s’écria-t-il, livrer notre plan à l’ennemi !…

Mais il reprit vite son calme. D’abord le mal était sans remède, puis il avait encore un bon côté : il levait tous les doutes qu’eût pu laisser l’affaire de l’hôtel de Mariembourg.

— Mais ce n’est pas le moment de réfléchir, reprit le jeune policier, je suis écrasé de fatigue ; prenez un matelas au lit, pour vous, l’ancien, et couchons-nous…