![Soyez béni mon Dieu et faites que je conserve longtemps ma main.](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a0/Gaboriau_-_Les_Gens_de_bureau%2C_Dentu%2C_1877-p110.jpg/400px-Gaboriau_-_Les_Gens_de_bureau%2C_Dentu%2C_1877-p110.jpg)
Romain fut ébloui, et il osa commettre une action peu louable.
On ne le regardait pas, il saisit un canif, découpa ces deux phrases dans le papier du sous-main, et les fourra dans sa poche.
Je publie ce fac-simile, fort inférieur à l’original ; je n’ai pas hésité à profiter de l’abus de confiance de mon ami pour prouver au lecteur mon grand amour de la vérité.
— Eh bien, avez-vous fini ? demanda Basquin à Caldas.
— Encore un instant, répondit celui-ci ; et d’inspiration il écrivit ce quatrain, dans le goût des épitaphes anticipées dont il enrichit les colonnes du Bilboquet :
Du pèlerin demain je prendrai les coquilles,
Si Dieu veut m’accorder la main de Coquillet.
Pinxit rageait devant ces pages sans coquilles,
Pingebat se racoquillait.