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elle était morte sans avoir eu le temps de se reconnaître.


XIII


Dubocage, fou de douleur dans les premiers jours de son veuvage, ne serait peut-être pas consolé à cette heure, si une fois, cherchant par hasard dans ce bureau qui servait à Aurélie, il n’eût trouvé ce fameux manuscrit qu’elle appelait ses « Mémoires. »

C’est en poussant de véritables cris de rage qu’il les lut.


XIV


Cependant, au cimetière, par delà Nantilly, sur la tombe de madame Dubocage, on lit : Casta vixit.

Et, dans le fait, c’est vrai.


FIN