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Les Sirènes




Ô matelot, toi qui, courtisan, risques ta voile au palais, au palais royal qui, par ses sirènes, est une autre mer de Naples,

Laisse les rames et garde-toi d’éloigner tes deux mains de tes oreilles, car c’est vraiment un écueil, sinon des sables mouvants, que cette douce voix d’un séraphin féminin.