Morel. ― Martin. ― Parmentelat. ― Pierrat. ― Pierrel. ― Perrin. ― Simon. ― Thomas. ― Villiaume. ― Viry.
Les actes furent établis ordinairement par les tabellions communaux dont voici les noms :
C. Claudel. ― Morel. ― Gérard. ― Collot. ― Paxion. ― Claudel, au Tholy.
Leurs offices étaient héréditaires.
Les prêtres-vicaires en chef qui assistaient les chatolliers furent :
J. Poirot. ― Sonrel. ― C. Poirot. ― C. Comte. ― L. Jacquemin, bachelier en Ste Théologie, chanoine en l’église Saint-Pierre-du-Vic (1679). ― F. Mallet. ― J. Poirot. ― C. Poirot. ― Jardot. ― Corizot.
En 1790, la Chambre des Comptes de Lorraine, par une ordonnance du 12 Février, demanda la déclaration des rentes et redevances perçues par les prêtres, fabriques, confréries, etc.
Voici quelles furent les déclarations faites pour Gérardmer (Papiers non classés).
Le sieur Colin, prêtre-vicaire en chef, « possède en biens-fonds 4 petites zilles de prey » exploitées par lui, qui « pourraient se louer annuellement 6 gros l’une. »
Les revenus d’Augustin Le Roy, prêtre résidant à Gérardmer, sont :
Une pension viagère de Sa Majesté polonaise de | 200 livres. |
Une pension des Quinze-Vingts sur l’hôpital royal de | 300 – |
Revenu annuel d’un patrimoine situé sur Gérardmer | 200 – |
Augustin Gégout, receveur de la Confrérie du Saint-Rosaire, accuse le bilan suivant :
Recettes : | Provenant de location de biens-fonds | 38l 18s 6den |
Rentes constituées | 10l | |
Dépenses | 15l 14s 6den |