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LIVRE IV. LES RÉVOLUTIONS.

tyran était celle de la démocratie ! Flamininus vainqueur lui enleva une partie de ses forces, mais le laissa régner en Laconie, soit que l’impossibilité de rétablir l’ancien gouvernement fût trop évidente, soit qu’il fût conforme à l’intérêt de Rome que quelques tyrans fissent contrepoids à la ligue achéenne. Nabis fut assassiné plus tard par un Étolien ; mais sa mort ne rétablit pas l’oligarchie ; les changements qu’il avait accomplis dans l’état social, furent maintenus après lui, et Rome elle-même se refusa à remettre Sparte dans son ancienne situation.


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