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SCENE IV.

Madame DUVAGIN, FOUTINE,
FOUTINE (à Madame Duvagin.)

Foutine ſoutiens-moiMoniche vient à nous.
Elle eſt à demi-nue, & tombe à vos genoux.
Madame, réveillez votre ardeur aſſoupie.
Grands dieux ! quelle attitude, & comme elle eſt jolie !

MONICHE, (du ton le plus enfantin.)

Ma tante, pardonnez.

Madame DUVAGIN, (revenant un peu
à elle, & la preſſant dans ſes bras.)

Ma tante, pardonnez.Qu’as-tu fait, mon enfant !
(à part.)
Ah ! quels jolis tettons ! quel con ! quel cul charmant !