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Pour toi mon conin s’ouvre, & ſe ferme à la pine.
Conçois-tu le bonheur de deux cons aguerris,
Luttant l’un contre l’autre, & ſe foutant des vits.
Réponds-moi, poliſſonne.

FOUTINE.

Réponds-moi, poliAh ?… je décharge encore.
Puiſſe en ce bel état me retrouver à l’aurore.
Il me ſemble ſentir votre charmante main.
Faire ſur moi la barbe au plus ſavant engin.
Qu’avez-vous dit ? le foutre aſſourdit mes oreilles,

Madame DUVAGIN, (En la preſſant dans
ſes bras.)

De nos conins unis je chantois les merveilles.

FOUTINE.

De les chanter toujours n’avons-nous pas raiſon !
donc eſt le plaiſir, ſans ſe branler le con !
Se faire foutre, hélas ! eſt un jeu ſi mauſſade :