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ZEN-SHÛ
15° | Kâṇadeva | (Ka-na-daï-ba) ; |
16° | Râhulata | (Ba-go-ra-ta) ; |
17° | Saṃghanandi | (Sô-guya-nan-daï) ; |
18° | Saṃghayaças | (Ka-ya-sha-ta) ; |
19° | Kumârata | (Ku-mô-ra-tai) ; |
20° | Jayata | (Sha-ya-ta) ; |
21° | Vasubandhu | (Ba-shu-han-dzu) ; |
22° | Manura | (Ma-do-ra) ; |
23° | Haklenayaças | (Kaku-roku-na) ; |
24° | Siṃha | (Shi-shi) ; |
25° | Vaçasuta | (Ba-sha-shi-ta) ; |
26° | Puṇyamitra | (Fou-nyo-mit-ta) ; |
27° | Prajnâtra | (Han-nya-ta-ra) ; |
28° | Bodhidharma | (Bo-daï-darou-ma) ; |
Bodhidharma était le troisième fils d’un roi de Kâçi dans l’Inde méridionale[1] (?) Pendant soixante années, il propagea sa doctrine de « Contemplation » dans les cinq contrées des Indes. Il vint ensuite en Chine la première année de la période Fou-tsou, sous la dynastie du Ling (520). Il y enseigna à l’empereur Wu la clef de la pensée de Bouddha ; mais l’empereur n’étant pas capable de la comprendre, Bodhidharma s’en alla et il traversa le fleuve Yang-tse et entra dans le pays du Guï du nord). Dans le Shô-rin-ji, nom d’un monastère, sur la montagne Sou, il resta pendant neuf ans assis par terre, la
- ↑ Sans doute il faut corriger : septentrionale.