112. ↑ — L. Mercius,… cohortatus milites. — Voyez le récit de Tite-Live, et le discours qu’il met dans la bouche de Marcius (liv. xxv, ch. 37-39).
113. ↑ — Alexander. Cf. Justin, liv. ii, ch. 5.
114. ↑ — Neciorum exercitu. Il est impossible de dire ce qu’était ce peuple, qui n’est cité que par Frontin. Parmi les commentateurs, qui sont tous embarrassés à ce sujet, Schwebel pense, avec Wesseling, qu’il faudrait lire Bessorum. Les Besses étaient les peuples les moins civilisés de la Thrace.
115. ↑ — Pro nuptiali munere dedit. — Voyez pour ce fait Tite-Live, liv. xxvi, ch. 50 ; Valère Maxime, liv. iv, ch. 3, § 1 ; Aulu-Gelle, liv. vi, ch. 8.
116. ↑ — Cohortem tantummodo in statione detinuit. C’était le corps des Herniques. Voyez ce fait, avec ses particularités, dans Tite-Live, liv. ii, ch. 64 et 65.
117. ↑ — Q. Sertorius, in Hispania, equitatu maximo comparato. Le texte de ce récit, dont la conclusion est étrangère à l’énoncé du chapitre, a sans doute reçu des altérations considérables : aussi est-il difficile d’en lier les diverses parties d’une manière satisfaisante. L’édition de Deux-Ponts commence ainsi le paragraphe : « Q. Sertorius, hostium equitatui maxime impar, qui usque ad ipsas, etc., » ce qui n’offre avec la suite aucun sens admissible. J’ai cru devoir adopter une autre leçon, qu’Oudendorp s’est contenté d’indiquer, sans la faire entrer dans son texte, et qui a été suivie déjà dans plusieurs éditions.
118. ↑ — Chares, dux Atheniensium. — Voyez Polyen, liv. iii, ch. 13.
119. ↑ — A lateribus adortus, oppressit. Cf. Polyen, liv. iii, ch. 9, § 46 ; et Frontin, liv. i, ch. 5, § 24.
120. ↑ — Hostem impeditum effugerent. Tite-Live, qui rapporte la guerre des Gaulois contre Attale (liv. xxxvi, ch. 16), ne parle pas de cet artifice.
121. ↑ — Sparso exercitu, dein recollecto. — Voyez Appien, de Rebus Hisp., c. lxii. Ce système de retraite, par dispersion suivie du ralliement, est à peu près celui que pratiquent encore aujourd’hui les Arabes en Afrique, devant les troupes françaises.
122. ↑ — Vulneribus oneratus transnavit. Tite-Live (liv. ii, ch. 10) dit, au contraire, qu’il gagna l’autre rive sans avoir été blessé. Voyez aussi Denys d’Halicarnasse, liv. v, ch. 21 et suiv.
22