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L’HOMME À L’HISPANO

nuit, il avait parcouru pour la première fois. Il marchait vite, mais son dos s’était courbé et il titubait comme un homme ivre, ou comme ces mercenaires de la Légion qui, parmi les poussières du sud, sentent toute la civilisation peser sur leurs épaules dans la lourdeur volontaire de leurs fardeaux.