Page:Froger - À genoux, 1878.djvu/205

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Puis dans la brume où l’âme invisible frissonne
Vous refermerez vos doux yeux,
Et vous écouterez l’éternité qui sonne
À la grande horloge des cieux.

Alors vous vous direz que tout ce que l’on pleure
N’a peut-être point existé,
Et que les plus beaux ans ne durent pas une heure
Quand on songe à l’éternité.