Page:Froger - À genoux, 1878.djvu/186

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

X

LES ÉTAPES


 
Je vous ai vue un jour d’été.
Votre beau rire avait jeté
Sur chaque arbre et sur chaque haie
Une explosion de clarté.
Vous étiez gaie.

Je vous ai vue un soir d’hiver.
Vous pleuriez auprès du feu clair.
Je vous ai dit : « Dieu vous assiste ! »
Vous, pleuriez sur un amour cher.
Vous étiez triste.