Page:Froger - À genoux, 1878.djvu/184

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

IX

HARMONIE DU SOUVENIR

(PANTOUM)


 
C’est l’amour. Viens rêver encor sur ces rivages.
Une dernière fois encore, et jamais plus !
Rappelle-toi le soir d’octobre où tu me plus.
Viens ; nous rajeunirons nos deux âmes sauvages.

Une dernière fois encore, et jamais plus !
Jours d’attente éternelle et d’éternels veuvages !
Viens ; nous rajeunirons nos deux âmes sauvages
Par l’évocation des souvenirs perdus.