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Donc, sachant combien cette Ange
Est fausse aux cœurs embrasés,
Même sous ses chauds baisers
J’ai toujours un doute étrange ;

Et même au fond de son lit,
Quand je l’enveloppe toute,
J’ai toujours l’étrange doute
Qui m’obsède et qui m’emplit.