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II

À CELLE QUI EST PLEINE DE HONTE


 
Je vous aime ; et c’est Dieu qui l’a voulu sans doute,
Que vous apparussiez au milieu de ma route,
Et que vous fissiez vivre en mon cœur douloureux
Qu’assombrit le regret des horizons sans bornes,
Comme un phare éclatant au-dessus des flots mornes,
L’immense orgueil de vos grands yeux aventureux.